À ses côtés, il y avait les présidents du Burkina Faso, de la Mauritanie et du Niger, ainsi que le secrétaire général de l’ONU. IBK a fait le point de la mise en œuvre de l’accord pour la paix et la réconciliation issue du processus d’Alger.
Selon le président de la République, la mise en œuvre de l’accord connaît des avancées: l’absence de belligérance entre les forces armées maliennes et les signataires de l’accord, le dialogue national inclusif dont les TDR ont été adoptés à l’unanimité, la prolongation du mandat des députés afin d’adopter les réformes issues du Dialogue national inclusif, la consultation pour déterminer les critères d’attribution des grades aux nouvelles recrues issues de la rébellion, l’adoption de la loi d’entente nationale, etc.
Le Président IBK a demandé aux partenaires de respecter leurs engagements financiers dans la mesure où le terreau du terrorisme est l’absence de développement. Pour contrecarrer la violence au Centre du pays, le Président IBK a évoqué la mise en œuvre du PSIRC et la nomination de Dioncounda Traoré comme Haut représentant chargé du Centre.
Comme IBK, les autres ont tous reconnu les efforts consentis. Tous sont convaincus qu’il faut préserver l’unité du pays et déclarer que la situation sécuritaire au Sahel concerne le monde entier. Ils ont plaidé pour que la force conjointe du G5 Sahel soit placée sous le chapitre VII de L’ONU.
Cellule de communication et des relations Publiques de la présidence de la République du Mali
Source: Présidence