Passé l’alarmisme des années 2000 puis l’optimisme béat des années 2010, place au réalisme concernant l’Afrique. En partenariat avec Sciences Po Ceri.
Il suffit de suivre les unes du magazine The Economist. Le 13 mai 2000 : « Le continent sans espoir », le 3 décembre 2011, « L’Afrique qui décolle », le 2 mars 2013. L’hebdomadaire a depuis laissé tomber le discours de l’émergence. Il survit ailleurs. « Cette histoire d’émergence, c’est celle des prismes simplificateurs, qui ont l’avantage de dispenser de réfléchir de façon fine et complexe… » souffle Boris Samuel, de l’Institut de recherche et de développement et du Centre d’études en sciences sociales sur les mondes africain, américain et asiatique.
Le chercheur a publié un article, « Entr….lepoint.fr