Le Conseil de sécurité de l’ONU a, au début de cette semaine, reconduit d’un an supplémentaire les sanctions contre des auteurs de crimes au Mali. Dans ce nouveau texte, cette instance onusienne insiste sur le respect du délai de la transition qui ne doit pas excéder les 18 mois. De même qu’elle a également mis l’accent sur le fait que ni le «Président de la transition, ni le Vice-président et le Premier ministre ne doivent en aucun cas être candidat» à la présidentielle de février 2022. Celà, au risque de les voir intégrer la liste des personnes sous sanctions onusiennes.
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Source : l’Indépendant