La reprise de Kidal au Mali a fait de nombreux déplacés. Sur les réseaux sociaux, les femmes de la ville sont stigmatisées comme étant des « butins de guerre ».
Au Mali, après la reprise de la ville de Kidal par l’armée, la vie reprend timidement ses droits. Le gouvernement a décrété, le 15 novembre, un couvre-feu de 30 jours, de 20 heures à 6 heures du matin.
De nombreux commerçants ont quitté la ville avant l’arrivée des soldats maliens, occasionnant des scènes de pillages.
Le sort des femmes de Kidal, dont certaines se sentent menacées, est également une source d’inquiétudes.
Dans son rapport publié début novembre, soit avant la prise de Kidal, l’Organisation internationale pour les migrations (OIM) annonçait déjà une augmentation de 116% du nombre des déplacés dans la région de Kidal, de décembre 2022 à septembre 2023. … suite de l’article sur Autre presse