Le monde change, on doit l’accompagner dans ce changement. Il est en mutation perpétuelle ; les méthodes pour s’en accommoder doivent s’adapter à son mouvement.
C’est ce que les Etats et leurs dirigeants ont dû mal à comprendre et à appliquer. Sinon comment peut-on comprendre qu’on veuille diriger au XXIe siècle de la même façon qu’il y a un siècle ? C’est le seul aspect qui persiste chez les dirigeants des pays notamment africains (utiliser la force pour rester au pouvoir, falsifier les résultats des urnes, infantiliser le peuple, encourager la corruption à grande échelle et le tout couvert par l’impunité).
Ils mettent en place des structures et organes de répression, mais aucun de leur parent n’est interpellé. Pour endormir leur peuple, ils créent des multiples structures de lutte contre la corruption ; aucun voleur de l’Etat n’est mis en prison. Ils volent tous au vu et au su de tout le monde, face à l’impuissance de la justice. Dans cette mafia organisée, ce sont les gros travailleurs, les patriotes, qui sont sacrifiés à longueur de journée, au détriment des nuls et des coursiers de nos rois.
Le reporter