La République de Guinée, selon le journal The Economist, à travers son Centre d’intelligence économique, est placée dans la catégorie rouge des pays à très haut risque (very high risk) de troubles sociaux comme le Nigéria, la Lybie, l’Argentine, la Syrie etc… Ce classement est subdivisé en quatre :les pays présentant un risque très faible ( Autriche, Danemark, Japon etc..), un risque faible ( Australie, Etats-Unis, Botswana, Gambie etc), risque moyen ( Angola, Ghana, Kenya, Malawi etc..), un risque élevé ( Burundi, Burkina Faso, Chine, Maroc, Madagascar etc..) et la zone rouge, celle de la Guinée, du Nigéria, de la Lybie, la Syrie etc…
Le pouvoir de Conakry, qui a reconnu l’impact négatif de ces manifs sur l’économie guinéenne, lorgnait la mise en place de la nouvelle assemblée, le 13 janvier 2014, pour gagner en grades et convaincre les investisseurs à revenir en Guinée.