La communauté internationale vient de découvrir le scandale sexuel dans lequel baigne joyeusement le soi-disant représentant de l’officine parisienne du polisario, le dénommé Bachir Oubi Bouchraya.
Ce sinistre individu a fait toute la démonstration de sa dépravation sexuelle à Paris comme en témoignent ses chaudes aventures avec la soi-disant présidente de l’irréelle « ligue des jeunes sahraouis », en l’occurrence Aziza Hameida, abandonnant femme et enfants à Bilbao (Espagne) où ils vivent de modiques aides sociales espagnoles.
Cette Aziza Hameida traine de lourdes valises derrière elle puisqu’elle a été fiancée au « cocu » dénommé Mahjoub Mliha, celui-là activiste du polisario à Bruxelles, qui a lui aussi délaissé sa femme en Belgique.
Cette nouvelle révélation a provoqué un tollé parmi les embastillés sahraouis marocains de camps de la honte de Tindouf et ce, en raison de très nombreux scandales sexuels ayant secoué la hiérarchie polisarienne, Brahim Ghali en tête.
Nul n’a oublié le viol bestial que ce Brahim Ghali avait commis à Alger, du temps où il dirigeait l’officine polisarienne dans la capitale algérienne, à l’encontre de la réfugiée sahraouie Khadijatou Mahmoud, auteure d’une plainte pour viol déposée auprès de la justice espagnole à son encontre. Raison pour laquelle, il ne peut se rendre en Espagne ou dans un pays membre de l’Union Européenne.
Cependant, la révélation des rencontres « hard » du soi-disant représentant de la fantomatique RASD parisienne, Bachir Oubi Bouchraya, avec la « Miss sahraouie » Aziza Hameida, tout juste dévoilées au grand jour, ne sont que l’arbre qui cache la forêt des frasques sexuelles des dirigeants polisariens.
Ainsi, à Tindouf, nombre de scandales sexuels bien plus graves étaient commis par les ogres de la centrale séparatiste, voire de hauts responsables algériens, sans éveiller le moindre soupçon tellement leurs auteurs cultivent le secret sur leurs aventures charnelles.
Même les frasques de l’ex-Wali de la Wilaya algérienne de Tindouf, le dénommé Moumen Mermouri, avec la poétesse sahraouie Nana El Rachid, accusée aussi de jouer les proxénètes au profit de ce sinistre ex-Wali, au détriment de nombreuses jeunes réfugiées sahraouies réduites à l’état d’esclaves sexuelles, ont été dévoilées en 2018.
Sans oublier ces jeunes réfugiées sahraouies reconverties en simple jouets sexuels pour le compte de sites porno espagnols, dont la plus célèbre est la dénommée Leïla Bent Pakito, ancien proche collaborateur de Bachir Oubi Bouchraya, devenue star du site prono espagnol « Pornoteria ».
Engoncé jusqu’au cou dans des scandales sexuels, le polisario utilise la même arme contre ses opposants, poussant le cynisme jusqu’à dévoiler des photos intimes de leurs épouses.
Le cas d’Olaya Saâdi, épouse du détenu politique Fadel Breïka, qui vient d’être relâché sur instructions algériennes, apporte ici une preuve irréfragable. Pour réduire son conjoint au silence, le « front du Mal » n’a pas trouvé autre moyen que le recours, en véritable maître-chanteur, aux photos de l’épouse piratées sur son téléphone portable pour les diffuser sur le site séparatiste à scandales nommé « sawtalwatan.com » !
Mais voilà suite à ces dernières révélations chaudes du soi-disant représentant du polisario à Paris, Bachir Oubi Bouchraya, le Haut-Commissariat aux Réfugiés (HCR) vient de prendre la décision de fermer les vannes des aides aux amis de la pseudo RASD (AARASD) basée en France au titre de l’année 2020.
Ces fonds, alloués à cette officine étaient destinés aux réfugiés sahraouis marocains retenus dans le goulag de Tindouf depuis près d’un demi-siècle ; aide détournée depuis la création de l’AARASD en 1975 à d’autres fins que le soutien humanitaire mais qui abondaient allègrement dans les poches personnelles des tortionnaires polisariens.
Au final, cette nouvelle révélation a tout au moins le mérite de nous édifier sur les agissements crasses du « front de la honte (polisario) », poussant l’outrecuidance jusqu’à instrumentaliser le sexe pour rallier des soutiens autour de sa « cause » de chimérique.
C’est pourquoi les pseudos représentants polisariens à l’étranger ont une très nette préférence pour les blondes ; ce choix leur permettant à la fois d’assouvir leurs pulsions bestiales et de rallier leurs maîtresses autour de leur fantomatique cause.
Aujourd’hui, la question est de savoir pourquoi les preux chevaliers du droit-de-l’hommisme ne dénoncent pas de tels agissements rédhibitoires du polisario, notamment à l’encontre des femmes sahraouies qui ne vaudraient pas plus que de simples esclaves sexuelles aux yeux des matons de Tindouf.
Farid Mnebhi.