À seulement deux jours de l’événement tant entendu dans la capitale malienne, qui sera la capitale panafricaine, la population se divise sur la question à savoir : la France doit-elle partir ou pas ? Aussi on se demande si l’ampleur qu’on donne à la journée répondrait-elle à nos ententes ?
Du moment qu’au haut sommet des institutions tremblent sous l’effet de la question, entre temps la population se mêle à la danse, montrant aussi son inquiétude, même si elle ne fait pas bon ménage. D’un côté, les pro-Françaises demandèrent la présence des troupes françaises dans le cadre des accords bilatéraux qui lient le Mali à la France surtout dans la lutte contre le terrorisme qui mit en ruine les villages. Et de l’autre, les anticolonialistes demanda à un départ des troupes ou soit qu’il soit respecté les termes des accords qui les lie aux autorités du pays. L’un des défendeurs de cette journée a renoncé à son salaire de membre du CNT pour ses intérêts qui est selon lui, le combat que tout panafricain doit mener dans son pays; libérer son pays au joug de la France. Malgré le président du CNT en appel à un respect au règlement intérieur du CNT, cela n’en fait qu’augmenter la tension au sein des personnes qui le départ de l’armée française au Mali. Avant le jour, le nord Mali est toujours sous contrôle des groupes armés, qu’on devra trouve une solution ensemble à ce problème dont, le monde entier est confronté. Aujourd’hui, si l’armée française venait à accepter le duel que veulent certaine partie de la population, est-ce qu’il pourra garantie au peu de personnes vivre sous le contrôle de l’armée Française et les FAMAS ? Ne devrons-nous pas chercher une solution idoine ensemble pour l’intérêt de chaque et d’essayer d’aller de l’avant ? En tout la question que deviendra le Mali après le départ de la France ?
À bon entendeur, salut
Lansine Coulibaly
Source : LE COMBAT