Ce 6 février 2019 est la journée mondiale de lutte contre les mutilations génitales féminines. Plusieurs pays d’Afrique pénalisent l’excision, sans réellement appliquer la loi. Au Mali, la société civile se bat depuis 2002 pour faire interdire les MGF, que subissent 90% des filles et femmes entre 15 et 45 ans. Nathalie Barge fait le point avec Brahima Ballo, chargé de programme de l’Association Malienne pour le Suivi et l’Orientation des Pratiques Traditionnelles.
Source: voaafrique