La était l’invitée d’honneur de la Journée Internationale de lutte contre les mutilations génitales féminines, célébrée ce jeudi 9 février 2017 au Centre international de conférence de Bamako. Le thème de cette journée porte sur : « Une loi contre les violences basées sur le genre, un facteur de protection des droits humains ».

Au Mali les chiffres sont alarmants. Selon l’enquête démographique et de santé, de 2012 à 2013, 69% des filles âgées de 0 à 14 seraient victimes de l’excision contre 91% des femmes en âge de procréation, c’est-à-dire, des femmes âgées de 15 à 49 ans.
Selon l’ONU, il y aurait 200 millions de victimes de la mutilation génitale féminine et d’ici 2030, 15 millions de fillettes pourraient subir une forme de ce fléau.
La journée est organisée par le ministère de la Promotion de la Femme, de l’Enfant et de la Famille en partenariat avec L’UNICEF, l’UNFPA, Plan Mali, la MINUSMA, Save Thé Children, L’OMS ET ONU
Source: Présidence