En 2018, le Centre est la partie du pays qui a enregistré le plus grand nombre d’attaques meurtrières. La plate-forme sauvons la région de Mopti dénonce « le silence et l’inaction des autorités nationales » face à cette situation. Selon ses responsables, la sécurité des populations ne doit pas être sous-traitée. Toutefois ils regrettent qu’après l’assassinat des 37 civils, les autorités du pays n’ont pas décrété un deuil national. Pour la plate-forme sauvons la région de Mopti, seulement le désarment de toutes les milices et le retour de l’état pourraient stabiliser la région.
Source: studiotamani