Les étudiants pourront, entre autres, avoir une bonne gestion des derniers publics ; une maitrise des effectifs des étudiants ; une traçabilité du parcours des étudiants ; une gestion efficace de la bancarisation des bourses et une disponibilité de base de données fiables pour le Système intégré de gestion des œœuvres universitaires.

Le vendredi dernier, à la Cité universitaire de Kabala, ont pris fin les travaux d’un atelier de quatre jours. C’était à la faveur d’une cérémonie sobre, présidée par le directeur général du Centre national des œuvres universitaires, le colonel Ousmane Dembélé. Il était assisté du directeur général de l’Ecole nationale d’enseignement technique et professionnel (ENETP), Moussa Koné.

Organisé par le CENOU, en partenariat avec l’ENETP, cet atelier entre dans le cadre de la prise en charge adéquate des prestations sociales assurées par le Centre des Œuvres universitaires (CENOU) au bénéfice des étudiants. Il s’agit, essentiellement du transport, de l’hébergement, de la restauration, de l’organisation de compétitions sportives, culturelles et de loisirs.

L’atelier a permis de compléter et de corriger certaines données clés pour la prise en charge des 24 177 néo-bacheliers dans les établissements d’enseignement supérieur ainsi que le traitement de leurs allocutions financières par le CENOU.

Après la lecture du rapport élaboré, à la suite des travaux, par le rapporteur du jour, il est revenu au directeur général du CENOU, de clôturer les travaux dudit atelier.

Le Colonel Ousmane Dembélé a d’abord rappelé que l’atelier a passé en revue les documents suivants : les procès-verbaux du baccalauréat général et technique des huit pôles de correction ; les décisions de proclamation des résultats du BAC ; le tableau statistique du baccalauréat.

Au cours des travaux, les participants sont parvenus à des résultats forts appréciables comme l’élaboration d’un fichier unique harmonisé du baccalauréat ainsi que l’immatriculation de tous les néo-bacheliers s’est-il félicité.

A la suite de cet atelier, chaque néo-bachelier, quel que soit son statut et sa nationalité, aura un identifiant unique qu’il conservera tout au long de son cursus universitaire au Mali a t-il dit. De même, à travers leur immatriculation, les étudiants pourront, entre autres, avoir une bonne gestion des derniers publics ; une maitrise des effectifs des étudiants ; une traçabilité du parcours des étudiants ; une gestion efficace de la bancarisation des bourses et une disponibilité de base de données fiables pour le Système intégré de gestion des œuvres universitaires (SIGOU).

Rappelant que l’importance de l’atelier, le directeur général de CENOU a souligné qu’elle est de mettre à la disposition des autorités universitaires, un fichier permettant l’inscription des néo-bacheliers, au titre de l’année universitaire 2019-2020. Il s’agit également, d’ouvrir des campagnes de dépôt des demandes de la bourse nationale, du logement et de l’aide sociale.

Diakalia M Dembélé

Source: Le 22 Septembre