La régulation de la presse malienne a été ajournée à une ultérieure à l’Assemblée nationale ou le texte était dans la procédure législative. Les député les plus nantis ont opposé leur veto au projet de la Hac, estimant que dans sa forme actuelle la loi compromet dangereusement les fondements existentiels de la profession.
Le ministre lui-même à été sidère de découvrir certaines parties du texte et n’a pu qu’accepter son ajournement. En attendant la régulation est en agonie parce que l’unique organe fonctionnel est abandonné : le conseil supérieur de la communication.
La Rédaction
SOURCE: Le Témoin