Ou encore, celui sur la vieille ….Diawara de Sébénikoro, qui assurait les besoins de sa famille grâce au revenu tiré de la vente de matières plastiques ramassées sur la montagne d’ordures de Lafiabougou. Les téléspectateurs ont été émus de ce qui s’est passé par la suite : des âmes charitables ont réagi et la vie de la dame s’est améliorée depuis. Comme magie ! Bravo à Salif et ses hommes !
Ce n’est pas tout. Actualité oblige – à travers ces nouvelles offres, nos compatriotes auront réalisé qu’ils font l’objet de plus d’attention de la part de Bozola qui s’intéresse à leur santé, à l’impact de la Covid-19 sur leur vie. Ils apprécient fort bien l’accent ainsi mis sur ce journalisme de proximité. Par dédain des chew-gums mâchés institutionnels, ne sont-ils pas nombreux à manifester leur intérêt pour les chaînes privées?
Source : Le Challenger