Non contents d’être absents dans l’attelage du Premier ministre Boubou Cissé, de nombreuses formations comme le Mouvement pour le Mali de Hady Niangadou, menacent de claquer la porte de la majorité présidentielle. Il y a aussi des tensions à l’intérieur de certains partis acquis pour la cause du président IBK comme sa propre formation, le RPM, l’Adema PASJ, l’ADP Maliba et la Cofop.
Dans le premier, on n’est visiblement pas content du choix des cadres et des portefeuilles au niveau du nouveau gouvernement alors que dans le second, les jeunes réclament un changement profond au sein du comité exécutif. La tête de Tiémoko Sangaré est désormais mise à prix.
La situation n’est guère différente à l’opposition où la non-participation de l’Urd au gouvernement continue de diviser.
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