Le Stade malien a perdu cette rencontre par manque de réalisme, car c’est le stade qui s’est procuré des plus belles occasions de buts sans les concrétiser. Durant la première période le stade a joué avec beaucoup de prudence ce qui fait qu’il n’a pas eu beaucoup d’occasion. Quelques fois le blancs attaquaient le camp adverse mais avec beaucoup de précipitation. Durant toute la première période, le portier de l’ASEC, Abdoul Karim CISSE a été inquiété une seule fois, c’est la frappe lourde de Sekou Magassa qui l’a mise en difficulté. L’arbitre égyptien, Youssef Essrayri a sifflé la fin de la première mi-temps sur le score vierge et nul 0-0.
A la reprise les stadistes sont venus avec beaucoup ambitions à l’image de Mamadou Coulibaly qui a essayé de bousculer la défense de l’ASEC dès son entrée en jeu sans succès. Le stade a vraiment pêché par manque de réalisme. En voulant marquer à tout prix, le stade s’est beaucoup exposé et l’ASEC a profité de cette situation pour marquer un but assassin sur contre à la 92è minute par Amed Touré. L’arbitre égyptien a sifflé la fin de la rencontre sur ce score de 1-0 pour les visiteurs (ASEC mimosa)
Cette défaite à Bamako compromet sérieusement la chance de qualification des Blancs de Bamako pour la phase de poule de cette compétition. Les stadistes sont contraints de faire une victoire au match retour sur la terre Ivoirienne.
A la fin de la rencontre l’entraineur du stade malien, Nouhoum Diané a beaucoup déploré la maladresse de ses joueurs devant les buts. Il garde de l’espoir pour le match retour.
Amani Yao l’entraineur de l’ASEC a salué le réalisme de ses joueurs qui n’ont pas eu besoin de beaucoup d’occasions pour scorer. Il garde les pieds sur terre car pour lui le match retour est une autre manche.