La polémique suscitée par la libération de quatre otages, dont Soumaïla Cissé et trois Occidentaux contre celle de deux cents ex-prisonniers comprenant des terroristes, la semaine dernière, ne faiblit pas.
Outre les administrateurs civils, qui sont vent debout pour réclamer l’ouverture de négociations pour la libération de deux de leurs collègues toujours aux mains des ravisseurs, il existe encore sur le territoire national des dizaines d’otages maliens, civils et militaires dont la libération est réclamée par leurs proches. Ce qui étonne plus d’un, c’est le fait qu’aucun geste, n’est posé en leur endroit alors qu’ils étaient en mission du pays.
Lire la suite dans l’Indépendant
Source : l’Indépendant