Quelques grèves observées à Bamako, capitale du Mali aurait suffi pour voir apparaître des établissements financiers partout. On susurre que ce seraient des caisses de blanchiment d’argent. On dit qu’il y a un manque de liquidité. Dans ces établissements financiers de dépôt et de transfert d’argent privés reconnus par une des sociétés de téléphonie mobile et les banques de la place, l’argent frais est toujours disponible, quel que soit le montant.Question: d’où viennent ces fonds ? Qui sont les propriétaires de ces établissements financiers ?
L’Inter de Bamako