L’Institut national des arts (INA), la vitrine de la formation des artistes maliens, n’aurait pas échappé à la boulimie de l’ancienne famille présidentielle qui avait fait de son ascension financière la vente, le pillage et le bradage de tout ce qui appartient aux Maliens et à l’État du Mali. Il serait vendu à un opérateur économique très proche du défunt régime. L’homme en question serait pressé d’attendre la fin de l’année scolaire pour démolir les bâtiments. En lieu et place, un immeuble commercial sortira des terres. On apprend que les nouveaux locaux de l’INA seront construits dans la zone aéroportuaire.
Source : L’Inter de Bamako