Lors de l’investiture du président de la transition, le colonel Assimi Goïta, le 07 juin 2021 au Centre International des Conférences de Bamako (CICB), a promis dans son discours devant l’opinion nationale et internationale qu’il consacrera les deux tiers de son fonds de souveraineté aux œuvres sociales pour alléger les souffrances des populations dans le besoin. Depuis, il a lié l’acte à la parole, et tout le monde le constate. Chaque semaine, la chronique relate les investissements sociaux du président pour diminuer la galère de ses compatriotes. À Kati, quasiment toute la ville et sa périphérie ont reçu assez de forages de sa part. Il est pour tous un chef qui pense aux difficultés quotidiennes de son peuple.
Dans la capitale malienne, au niveau de certains quartiers comme Moribabougou, Seydoubougou, Djalakorodji, avoir de l’eau potable était un luxe. C’est maintenant fini grâce au chef de la transition. La semaine dernière, plus de 15 forages ont été réalisés. Ces opérations continueront jusqu’à la fin de la transition. Le président Goïta tient ses promesses faites lors de son investiture. Avant-hier, le camp militaire Cheick Sidi Albakaye de Tombouctou a reçu une visite au nom du chef de l’État à travers le colonel Assan Badiallo Touré, conseillère spéciale du président de la transition, qui a procédé à la remise des médicaments à la maternité du camp et à l’inauguration de deux (2) forages. Cette activité continue du chef de l’État Goïta est salutaire et doit être encouragée par la population ; c’est une source d’inspiration pour tous les dirigeants, comme le dit le politicien Yeah Samaké : « Diriger, c’est servir ».
L’actuel président de la transition suit les traces de l’ancien président de la République décédé, Amadou Toumani Touré qui, selon un médecin à l’hôpital de Kati, mettait son fonds de souveraineté à la disposition des hôpitaux maliens et que, grâce à cela, les hôpitaux étaient un peu plus équipés par rapport à maintenant. Pour lui, actuellement, il n’y a rien dans les hôpitaux maliens. ‘’ Les fonds qu’on donne pour l’entretien des hôpitaux sont insuffisants’’, nous a-t-il dit.
D Sanogo
LE COMBAT