« Je suis une jeune femme noire qui a décidé très tôt de faire de la politique et de prendre des responsabilités. Je savais que mon âge, mes origines et le fait d’être une femme joueraient un rôle, mais je n’imaginais pas quelle dimension cela prendrait. » Dans son livre Nous pouvons être plus nombreux, la puissance de la diversité, Aminata Touré décrit l’incroyable intérêt suscité par sa carrière fulgurante.
Aminata Touré est devenue un symbole pour l’intégration de ceux qu’on appelle les « Afro-Allemands ». Ses parents avaient fui le Mali au début des années 1990. La jeune fille, née en 1992, a grandi d’abord dans des foyers de réfugiés avec un statut des plus instables, avant d’obtenir la nationalité allemande à 12 ans. C’est à cet âge que son père quitte sa femme et ses quatre filles. Avec une mère qui travaille comme aide-soignante, la famille ne roule pas sur l’or. Aminata Touré peut faire des études de sciences politiques et de français grâce à une bourse. Elle s’engage au même moment au sein du mouvement de jeunesse du parti vert de sa région, le Schleswig-Holstein.
Elle effectue, parallèlement à ses études, ses classes en politique comme assistante d’une députée écologiste au parlement fédéral à Berlin. Un travail qui aurait pu lui ouvrir des perspectives dans la capitale allemande, mais elle revient sur ses terres en 2017 après avoir été nominée pour les élections dans sa région. Élue en 2017, elle devient deux ans plus tard vice-présidente du parlement régional à Kiel. Elle s’engage sur les sujets de société comme l’antiracisme, les questions migratoires, l’égalité des femmes ou les dossiers religieux.
« Je suis une jeune femme noire qui a décidé très tôt de faire de la politique et de prendre des responsabilités. Je savais que mon âge, mes origines et le fait d’être une femme joueraient un rôle, mais je n’imaginais pas quelle dimension cela prendrait. » Dans son livre Nous pouvons être plus nombreux, la puissance de la diversité, Aminata Touré décrit l’incroyable intérêt suscité par sa carrière fulgurante.
Aminata Touré est devenue un symbole pour l’intégration de ceux qu’on appelle les « Afro-Allemands ». Ses parents avaient fui le Mali au début des années 1990. La jeune fille, née en 1992, a grandi d’abord dans des foyers de réfugiés avec un statut des plus instables, avant d’obtenir la nationalité allemande à 12 ans. C’est à cet âge que son père quitte sa femme et ses quatre filles. Avec une mère qui travaille comme aide-soignante, la famille ne roule pas sur l’or. Aminata Touré peut faire des études de sciences politiques et de français grâce à une bourse. Elle s’engage au même moment au sein du mouvement de jeunesse du parti vert de sa région, le Schleswig-Holstein.
Elle effectue, parallèlement à ses études, ses classes en politique comme assistante d’une députée écologiste au parlement fédéral à Berlin. Un travail qui aurait pu lui ouvrir des perspectives dans la capitale allemande, mais elle revient sur ses terres en 2017 après avoir été nominée pour les élections dans sa région. Élue en 2017, elle devient deux ans plus tard vice-présidente du parlement régional à Kiel. Elle s’engage sur les sujets de société comme l’antiracisme, les questions migratoires, l’égalité des femmes ou les dossiers religieux.