Plus de 120 civils tués en l’espace de trois mois dans la région de Bandiagara au centre du pays. Ces chiffres non encore officiels ont été communiqués par la synergie des associations et mouvements des jeunes du pays dogon. Ils l’ont manifesté le 27 juillet 2024 au cours d’un point de presse. Au même moment, des affrontements meurtriers ont eu lieu à Tinzaouatene au nord du pays entre l’armée et des groupes armés. Comment stabiliser ces parties du territoire ? Les opérations des forces maliennes pourront-elles être la solution. Quelle place faut-il réserver au dialogue communautaire dans ces endroits ?