L’adoption de la loi électorale le vendredi 17 juin 2022 par le CNT et sa promulgation une semaine plus tard par le Président de la Transition a donné lieu à deux principaux sujets de débats. Il s’agit d’un semblant de désaveu du Président envers son premier ministre à travers la promulgation du document qui a été « toiletté » de 92 amendements d’une part. Le second sujet de discussion le plus brulant du moment est relatif à la possibilité pour les (…)
Par MAHAMANE TOURÉ
Source: NOUVEL HORIZON