Dans un communiqué, le parti FASO KA WELE de Issa Kaou Djim, interpellé hier pour propos délictuels sur les réseaux sociaux, condamne l’arrestation de son leader.
Parce que son leader a été interpellé pour faute délictuelle par le procureur de la commune IV du District de Bamako, le secrétaire général du parti Faso ka wele a fait un communiqué : « L’appel citoyen pour la réussite de la transition, ACRT, parti FASO KA WELE, informe l’opinion nationale et internationale que son président, M Issa Kaou Djim, par ailleurs 4e vice-président du Conseil National de Transition CNT, a été interpellé à son domicile sis à Lafiabougou Taliko, hier mardi 26 octobre 2021, aux environs de 19 h sur instruction du procureur de la commune IV. L’ACRT condamne cette interpellation avec la plus grande fermeté et appelle à sa libération immédiate et sans condition. La liberté d’expression et d’opinion est le fondement de toute démocratie. L’ACRT réaffirme son soutien à son président, Issa Kaou Djim, et lance un appel à ses militants à rester mobilisés ».
Cependant, après l’arrestation de Kaou Dijm, le débat s’enflamme au tour de la liberté d’expression et certains s’attaquent directement à la réaction du président de la presse. Aujourd’hui, il va falloir définir la notion de la liberté d’expression. Que signifient la liberté d’expression, sa conception, ses objectifs, etc. ? En tout cas, la toile s’enflamme.
Lansine Coulibaly
Source : LE COMBAT