En Isère, dans la ville de Varces, la population est endeuillée après la mort de Maxime Blasco, tué au Mali. L’émotion est très vive sur place.
« C’est une émotion très vive, mais qui n’est pas dite devant la caméra », explique la journaliste Céline Aubert en direct de Varces (Isère) samedi 25 septembre. « Samedi matin, devant la caserne de Varces, on a croisé peu de monde. Le samedi, généralement, les chasseurs alpins sont soit en préparation, soit ils sont en entraînement en montagne. »
Un déchirement
« Nous avons tout de même croisé quelques soldats qui faisaient leur footing, ils ont confié leur émotion hors-caméra », poursuit la journaliste. « Ils on dit que le caporal-chef Blasco était un ’bon gars’, admiré pour ses nombreux actes de bravoure au Sahel. Il y aura un point presse officiel et une prise de parole du colonel du régiment. Nous avons rencontré les habitants de Varces, à quelques encablures de cette caserne. Ces soldats font partie de leur vie, il les côtoie au quotidien. Et même si les décès ne sont pas rares, à chaque fois qu’un jeune homme ne revient pas, c’est un déchirement. » … suite de l’article sur Autre presse
France Tv Info