Le mercredi 5 mai 2024, Orange Mali a magnifié la journée mondiale de l’environnement à la Cité des enfants avec la plantation de «1000 arbres pour le futur». Cette initiative marque son engagement à jouer sa partition dans la responsabilité sociale et environnementale (Rse).
La Journée mondiale de l’environnement a été mise à profit par Orange Mali, pour planter «1000 arbres» dans la cour de la Cité des enfants à Niamakoro. Cette journée de plantation visait à sensibiliser, mobiliser pour la protection de l’environnement. Selon les responsables du réseau de téléphonie, l’idée de planter 1000 arbres est une initiative qui s’inscrit sur le long terme. Après la plantation, le site sera doté d’un forage solaire autonome pour faciliter l’arrosage des plants. Orange s’engage aussi à les entretenir jusqu’à leur maturité. Cette action à impact environnementale et communautaire, a été saluée par les légitimités traditionnelles.
Ainsi Seydou Sangaré, le coordinateur des chefs de quartier de Bamako, a applaudi Orange Mali pour cet exercice citoyen. Idem pour le représentant du Maire de la Commune 6, Alexis Alassane Diarra, qui a accueilli avec fierté l’initiative qui aura «un impact sur sa commune».
Amadou Bocoum, responsable Rse, a salué l’implication et l’engagement du personnel Orange, qui est pour lui, un bon signal de départ.
Bienvenue à la plateforme «Engage for change »
Orange Mali dans sa collaboration interne ou externe, œuvre chaque année pour l’environnement. Afin de démultiplier cet engagement, l’entreprise a misé sur une nouvelle plateforme dénommée «Engage for change». Elle vise non seulement à encourager le personnel Orange à mener des actions à impact communautaire, valoriser son engagement, inspirer le monde extérieur à plus d’actions pour notre planète. Ainsi chaque année, trois jours leur seront offerts pour mener des actions communautaires ou environnementales. La plateforme «engage for change» contribuera ainsi à cet élan mobilisateur pour des initiatives sociales et environnementales.
La santé est en danger quand l’environnement l’est. Le directeur général adjoint de la Cité des enfants, N’Famara Kéita, a partagé sa conviction dans ce sens. D’après lui, partout dans le monde, les écosystèmes sont menacés. La terre aussi, les espaces naturels également. «40% des terres de la planète sont dégradées, la sécheresse pourrait toucher le 3/4 de la population mondiale d’ici à 2050» a alerté le directeur général adjoint de la Cité des enfants, qui est formel: «Il n’est pas possible de faire revenir le temps, mais il est possible d’agir pour sauver la planète ».
Ousmane Tangara
Le Challenger