La gestion politique de la crise malienne, et plus particulièrement le cas de la ville de Kidal, agace de plus en plus les pays du G5 Sahel. En cause ? Beaucoup estiment que certains groupes armés signataires de l’accord de paix qui y sont basés entretiennent des liens avec les organisations jihadistes.
En cause ? Beaucoup estiment que certains groupes armés signataires de l’accord de paix qui y sont basés entretiennent des liens avec les organisations jihadistes.« Le statut de Kidal nous pose problème. C’est une menace pour le Niger, et il faut impérativement que l’État malien y reprenne ses droits », déclarait récemment Mahamadou Issoufou dans nos colonnes.
Source: jeuneafrique