À quelques semaines de l’élection présidentielle, l’échec de la militarisation du pays est patent.
L’incapacité de l’État à exercer sa souveraineté, notamment dans les régions de Ménaka et de Mopti, à la frontière du Niger, laisse en germe des guerres civiles locales, et fait craindre les scénarios du pire. … suite de l’article sur Autre presse