Au Mali, le rejet des anciens billets de banques froissés, déchirés ou encore des pièces de monnaies lisses devient récurrent. De plus en plus d’entreprises, notamment des commerçants, des agents de change, des particuliers, refusent ces billets et pièces de monnaies. Ils prétextent qu’ils ne sont plus valables. Une situation profitable aux cambistes qui achètent et vendent ces devises. Mais ce phénomène, selon des économistes, peut freiner l’activité économique dans le pays. Savez-vous qu’un refus de ces coupures en cours légal est puni par la loi ?