Dans un pays qui met en valeur ses vrais cadres et exploite à bon escient leurs compétences axées sur le résultat, Fassery Doumbia mériterait aujourd’hui mieux que le poste de Directeur général du PMU-Mali (ce jugement n’engage que moi). Mais, l’être humain ne pouvant dévier de son destin, il assume cette fonction avec l’autorité due, mais aussi avec humilité, tout en mettant en avant les intérêts du personnel permanent et extérieur et des parieurs, et l’intérêt supérieur de l’Etat. Aujourd’hui, le changement est perceptible à tous les niveaux, avec bientôt des logements pour les agents de la société, qui ont vu, en outre, leur part sur le résultat multipliée par 5 pour certains et même par 10 pour d’autres ainsi que leurs conditions de travail considérablement améliorées.
De leur côté, les parieurs se frottent les mains avec des gains qui affolent les compteurs, à l’image de cet heureux gagnant du Quinté PCD du jeudi 30 mai 2024 qui a empoché 32.243.600 FCFA et cet autre gagnant du Quinté ALR d’avant-hier dimanche 02 juin 2024 qui a touché 32.298.000 FCFA. Chacun attend son tour.
Que dire de l’Etat dont les caisses sont renflouées mensuellement à hauteur de satisfaction des hautes autorités comme l’a révélé le ministre de l’Economie et des Finances, Alousséni Sanou, lors de la pose de la 1ère pierre de la Cité du PMU-Mali, le vendredi 30 décembre 2022 : «Au-delà de tout cela, le PMU-Mali contribue pour plus de 12 milliards de F CFA au Trésor. »
Ce n’est pas tout. Fassery Doumbia a même du souci pour les anciens travailleurs de la société en suscitant la mise en place d’une Association des Retraités du PMU-Mali qui vient de voir le jour avec à sa tête Moussa Goïta. Que peut-on demander de plus d’un responsable d’une structure publique, à moins de vouloir chercher des poux sur la tête d’un chauve ?
« Même si tu n’aimes pas le lièvre, reconnais au moins qu’il court vite ! », dit un proverbe burkinabé. De nos jours, tous les travailleurs du PMU-Mali doivent être fiers de leur Directeur Fassery Doumbia comme le sont ses supérieurs hiérarchiques, les revendeurs, les partenaires de la société et les parieurs. L’homme a fait de l’entreprise, sinon un eldorado, au moins une aire où il fait bon vivre et travailler. Tous ceux qui ont suivi l’évolution de cette société au cours de ces trois dernières décennies savent qu’aujourd’hui (2021-2024) est carrément différent d’hier. Les changements sont visibles et palpables au plan interne qui impacte les conditions de travail du personnel, au plan de la gestion administrative où chaque cadre est mis à sa place qu’il mérite, au niveau des recettes avec des chiffres d’affaires qui flambent etc. Pourquoi cette embellie ? Parce que l’homme est venu avec une vision et une politique gagnantes qui mettent en avant l’intérêt du personnel et des parieurs d’abord puis celui de l’ensemble des acteurs dans le fonctionnement de l’entreprise. Si nous insistons sur le cas des travailleurs internes, c’est parce que le personnel permanent est le segment qui bénéficie considérablement de la nouvelle gestion instaurée par l’actuelle direction générale.
Une cité pour 100 agents PMU et leurs familles
Dix-huit mois ont suffi à Fassery Doumbia pour situer les besoins réels des agents du PMU-Mali. Aussi, va-t-il poser un acte de solidarité et de sacrifice en concrétisant l’idée bien mûrie d’une « Cité PMU-Mali » destinée aux agents de la société.
C’est ainsi que le ministre de l’Economie et des Finances, Alousséni Sanou, a procédé le vendredi 30 décembre 2022, au lancement des travaux du programme de 100 logements pour les travailleurs de l’entreprise qui rêvaient d’avoir leurs propres logements. Le coût de l’opération est de 2,535 milliards de F CFA sur fonds propres du PMU-Mali (30 % en subvention et 70 % à la charge des bénéficiaires.
Ces 100 logements de type F3 et F4 sont en chantier à Samanko dans la Commune du Mandé et devront s’achever à la fin de cette année 2024 si la société malienne Sélection Immo respecte le délai contractuel de 2 ans. Ce jour-là, le ministre Sanou n’a pas caché sa satisfaction face à un tel projet porteur, selon lui, le PMU-Mali occupe une place importante dans l’économie nationale.
« Je suis très ravi de procéder au lancement des travaux de la Cité PMU-Mali….Je voulais juste rappeler que le PMU-Mali est un service qui joue un rôle important dans le développement économique du pays. Aujourd’hui, il emploie plus de 2000 agents dont 200 agents sont rattachés à la direction générale, 800 contractuels et plus de 1000 revendeurs. Au-delà de tout cela, le PMU-Mali contribue pour plus de 12 milliards de F CFA au Trésor », a-t-il révélé.
Pour sa part, le directeur général, Fassery Doumbia, dira simplement : « Nous sommes heureux d’être dans l’action aujourd’hui après tant de questionnements, de débats pour poser dans le concret la première pierre de notre futur Cité…Le besoin en logement tant nourri par les travailleurs de PMU-Mali est aujourd’hui en voie de réalisation grâce à l’engagement de toutes et de tous. C’est un acte de solidarité et de sacrifice consenti par chacun de nous. »
Du pur bonheur auquel aucun chef n’avait pensé.
Prime de résultat multipliée par…10
Il est de coutume au PMU-Mali (comme dans d’autres structures publiques) que lorsque le chiffre d’affaires atteint un certain montant (15 milliards), une prime de résultat soit attribuée/distribuée aux travailleurs via le fonds social. Avant l’arrivée du directeur Fassery Doumbia, des agents touchaient 100 000 F, 200 000 F, 300 000 F, 500 000 F, 1 000 000 F etc. selon la grille de partage. Chacun se contentait de ce qui lui revenait sans murmures.
Fassery est arrivé en 2021. Les résultats du bilan clos au 31 décembre 2022 sont impressionnants. Jugez-en vous-mêmes.
– Le chiffre d’affaires a connu une augmentation de 101.29% en passant de 403 534 904 975 FCFA pour l’exercice 2021 à 812 291 749 691 FCFA pour l’exercice 2022.
– Les charges de l’exercice 2022 s’élevaient à un montant de 36 356 092 740 FCFA contre 36 000 546 609 FCFA pour l’exercice 2021, soit une progression de 1%, ce qui démontre une bonne maitrise des charges.
Les produits de l’exercice 2022 s’élevaient à un montant de 53 088 273 504 FCFA contre 42 398 259 050 FCFA au titre de l’exercice 2021, soit une progression de 25.21%.
En conclusion l’exercice 2022 a permis de réaliser un résultat excédentaire de 20 911 366 261 FCFA contre 6 397 712 441 FCFA en 2021, soit une hausse de 227%.
Il nous revient qu’à l’heure du partage, la part du personnel sur ce résultat a augmenté de manière substantielle. Chaque travailleur s’en est tiré avec un vrai pactole, par virement bancaire. Personne n’a eu moins d’un million de FCFA. Des portiers, qui avaient jusque-là perçu au maximum 100 000 FCFA, ont pleuré à chaudes larmes pour avoir touché, pour la première fois de leur existence, le montant de 1 million de FCFA, leur part ayant été multipliée par 10. Ils ont béni abondamment le directeur général, nous confie une source. Ceux qui ont empoché 5 millions, 10 millions et au-delà sont les plus nombreux.
Mais, « le ridicule ne tue pas », dit-on. Aussi, « l’être humain n’est jamais rassasié », « plus tu lui donnes, plus il en demande ».
Curieusement, des bruits de bottes commencent à se faire sentir de la part d’un certain personnel, apparemment mis en mission, qui se contentait de 2 millions et qui venait de recevoir au moins 3 fois plus. Où est la logique ? C’est pourquoi, nul besoin de s’éterniser sur cette affaire.
Un DG respectueux des textes
En plus de cette prime sur le résultat, le directeur général accorde aussi à certains agents une prime de gratification spéciale.
Que dire des conditions de travail des agents ! Elles ont été considérablement améliorées, à tous les niveaux, du matériel ordinaire de travail à la logistique en passant par l’emploi du temps des chauffeurs.
Des véhicules ont été achetés et mis à la disposition d’agents pour les nécessités du travail.
N’occultons pas la création d’emplois avec la poursuite de l’ouverture d’agences PCD, la régularisation des agents SAER tout en les mettant dans leurs droits quant au partage des parts par la simple application des textes. Tous ceux qui connaissent, tant soit peu, Fassery Doumbia ou son modèle de gestion, savent qu’il ne prend jamais de décision qui pourrait le rattraper demain. Non !
C’est pourquoi, nous jugeons d’office que le recrutement de personnels qualifiés hors du service est parfaitement légal. Il est venu avec une vision dont la mise en œuvre lui incombe, et, il est tout à fait fondé à chercher les hommes qu’il faut là où il le faut s’il n’y a pas le profil et les compétences requis dans la boite. Et puis, au PMU-Mali, les gens ont-ils une fuite de mémoire ? Rappelons que pendant longtemps, la comptabilité de la société était gérée par un Cabinet. Tout près, chez le voisin guinéen, quand PMU-Guinée est tombé sous tutelle de la LONAGUI (loterie nationale de Guinée) en 2019, la directrice générale, Aminata Sylla, s’est d’abord entourée de plusieurs cabinets afin d’atteindre ses objectifs.
C’est pourquoi, invoquer des cas de recrutement d’auditeurs, de régularisation d’agents, de situation de chauffeurs…pour perturber la quiétude du premier responsable et le dévier de ses vraies priorités, relève de la pure diversion.
On doit laisser tranquille celui qui consacre son temps, son énergie et ses compétences au service de l’entreprise commune et qui a consenti moult efforts (y compris en conservant le 13è mois) pour satisfaire aux besoins du personnel (en nature, en espèces et en conditions de travail).
En tout cas, les parieurs sont bien loin de cette saute d’humeur, sans doute passagère.
Les parieurs comblés !
Les parieurs sont reconnaissants envers la direction générale actuelle du PMU-Mali avec des gains substantiels conformes aux réalités de chaque arrivée. Loin d’eux ces périodes où on leur distribuait de l’aumône ! Aujourd’hui, quasiment chaque course Quinté (PCD ou ALR) et Quarté révèle son lot de millionnaires à telle enseigne que les amoureux des courses hippiques n’hésitent plus à miser gros parce qu’au bout, il n’y a pas de regret. D’où la hausse de la masse à partager. Si elle avait touché le fonds il y a quelques années (moins de 100 millions), celle du Quinté ALR du dimanche 02 juin dernier est de 208.911.500 FCFA.
Au cours de l’année 2023, exactement 57 064 836 439 FCFA ont été distribués aux parieurs par la société.
Et déjà, pour les quatre premiers mois de l’année 2024 (Janvier-Février-Mars-Avril), PMU-Mali a distribué aux parieurs 18 689 332 000 FCFA et elle a fait 992 millionnaires.
Comment Fassery Doumbia a fait pour réaliser tous ces acquis en si peu de temps ! De cela, nous parlerons prochainement. Inshallah !
Sékou TAMBOURA