Chères lectrices, chers lecteurs, ce lundi 30 octobre de l’année 2017, vous avez, entre vos mains, la première parution de l’hebdo d’informations générales «LE PHARE». A partir de cette seconde, ce journal est devenu le vôtre et vous en êtes, sûrement, très heureux. C’est cela que nous espérons, en tout cas. «On est ensemble» ; comme ça se dit à Bamako…
Permettez-nous, chères lectrices, chers lecteurs, de schématiser le processus comme suit : d’un côté, la Rédaction de « LE PHARE », et, de l’autre, vous qui constituez notre force et tout notre espoir. Car, ça ne sert à rien de produire si, de l’autre côté de la chaîne, il n’y a pas de consommateurs. Les femmes et les hommes qui composent l’équipe rédactionnelle de votre désormais hebdo préféré souhaiteraient mettre à votre disposition des analyses politiques, des faits divers, des critiques dans tous les domaines du quotidien d’ici et d’ailleurs. Sans oublier les sports, l’économie, l’environnement. Tout en cherchant l’information partout où elle pourrait se trouver, notre souhait est de vous proposer nos services les meilleurs.
Nous voudrions attirer votre attention, chers lecteurs et lectrices, sur le fait que nous n’avons point la prétention de faire mieux que les autres.
Toutefois, à travers l’hebdo « LE PHARE », nous tenterons objectivement d’apporter notre petite contribution au développement économique, social et politique et culturel de notre pays.
Nous avons écrit, un peu plus haut, que «LE PHARE », à partir du présent numéro, est votre hebdo préféré. Il n’en demeure pas moins que nos plumes arrivent, des fois, égratigner dans l’âme. Si c’est le cas, recevez l’assurance que ça serait dans les règles de l’art. Nous sommes aussi dans la logique de l’adage qui enseigne que «qui aime bien châtie bien». Pour cette raison, nous attendons votre accompagnement, en termes de conseils et autres contributions allant dans le sens de l’amélioration continuelle du produit que nous livrons. Nous ne vous apprenons rien en soulignant que, dans ce métier de recherche, de traitement et de publication des informations, tout n’est pas rose. C’est pour cette raison, d’ailleurs, que nous vous proposons cette citation du célèbre poète français, Charles BAUDELAIRE, dans «Journaux intimes» : « …Tout journal, de la première ligne à la dernière, n’est qu’un tissu d’horreurs, guerres, crimes, viols, impudicités, tortures (…) une ivresse d’atrocité universelle. Et c’est de ce dégoûtant apéritif que l’homme civilisé accompagne son repas chaque matin (…). Je ne comprends pas qu’une main pure puisse toucher un journal sans une convulsion de dégoût…».
Chères lectrices, chers lecteurs, à la Rédaction de l’hebdo «LE PHARE», nous avons la conviction inébranlable que nous allons évoluer, main dans la main, sur le chemin de la recherche de solution aux problèmes quotidiens des Maliennes et Maliens, en leur offrant des services d’excellente qualité sur l’actualité nationale et internationale.
Aux acteurs des médias tous azimuts nous avons l’honneur d’annoncer notre venue dans le monde de la presse écrite nationale qui est le leur. Ce nouveau-né exprime ainsi sa volonté d’apprendre aux côtés de ses aînés afin de participer, à travers la sensibilisation et la formation, à un changement de comportements du citoyen vis-à-vis de la chose publique.
A nos chères lectrices et chers lecteurs, à nos consœurs de tous les médias, la Rédaction de l’hebdo « LE PHARE » réitère sa confiance et sa disponibilité…
Bonne lecture et bonne collaboration !
Le fondateur
G. KONATE
Source : Le Phare