La nouvelle tendance, du coté du Golfe persique, depuis quelques temps, c’est le Dubaï Porta Potty, entendez Toilettes Portables de Dubaï. Ce phénomène, qui transforme des êtres humains en de véritables toilettes humaines, livre, déjà, les noms de certaines « mangeuses » de caca humain.
Dubaï Porta Potty, c’est le phénomène, qui fait couler beaucoup d’encre et de salive, dans le monde entier, depuis quelques jours. Alors que l’affaire continue son petit bonhomme de chemin et que d’aucuns se posent la question de savoir ce qui a pu pousser ces candidates à s’aventurer sur ce terrain, plusieurs sources d’information commencent par livrer des noms.
Des têtes commencent par tomber
Etant entendu que tout secret finit, un jour, sur la place publique, des médias internationaux se sont mêlés de cette choquante histoire. La suite, des visages commencent par apparaître au grand jour.
En effet, comme le rapportent plusieurs médias, ces jeunes femmes, qui se livrent à ces actes contre-nature, sont, pour la plupart, des influenceuses, aux apparences, peu suspicieuses, se pavanant dans des suites de luxe ou à bord de jets privés, entre autres. En réalité, expliquent les sources, elles tirent la majeure partie de leurs revenus, dans des activités indécentes, comme le Dubaï Porta Potty.
Selon la chaîne YouTube, Wassim Tv, les célébrités des réseaux sociaux, Milla Jasmine, Marine et Océane, seraient concernées par ce sordide phénomène. Le détenteur de la chaîne en veut, pour preuve, que, « d’ailleurs, quelques youtubeurs américains en parlent. » « Et on voit Marine et Océane en couverture de vidéos. Milla Jasmine faisait ça, aussi, dans le passé, quand elle était escorte. », a-t-il ajouté, appelant ses abonnés à lui fournir d’autres informations, probablement, pour enrichir ses recherches.
Faut-il le rappeler, selon les information de dubaiportapotty.top, les fameuses Dubaï Porta Potty sont des femmes, qui sont réduites à ce qui peut être qualifié de « toilettes humaines », sous les ordres de richissimes hommes d’affaires du Golfe. En d’autres termes, ces jeunes femmes, pour se faire quelques billets de banque, sont soumises à des actes, défiant toute logique : « manger » des excréments humains, contre payement de 15 000 à 20 000 dollars.
Source: beninwebtv