Selon El Watan, la reprise des combats dans la région de Tombouctou mettrait en péril l’accord sur la cessation des hostilités, signé par Bamako et six groupes rebelles de l’Azawad le 24 juillet dernier à Alger.
Des combats auxquels ne participeraient pas le Mnla qui a fait un communiqué pour démentir les accusations d’Ahmed Ould Sidi Mohamed, un des chefs d’une autre faction, le MAA, ou Mouvement arabe de l’Azawad. Toujours selonEl Watan, les bombardements menés le 10 août dernier par la force française Barkhane, dans la région de Tombouctou auraient ciblé un groupe mobile non identifié soupçonné d’appartenir aux groupes narco-terrorisme dans la région de Essakane.