Les patrouilles générales effectuées à Bamako et environs du 28 janvier au 1er février 2019 ont permis de neutraliser plusieurs malfrats et de saisir des armes et des stupéfiants.
Selon les informations fournis par le ministère, 1025 éléments de la Police, de la Gendarmerie et de la Garde nationale ont été déployés, 744 personnes ont été interpellées sur lesquelles 53 étaient déjà recherchées par la justice, 283 engins à deux roues saisis, 26 véhicules retrouvés, 55 PA, 26 fusils de chasse et une quantité importante d’armes blanches et de munitions, 500 briques de chanvre Indien, des comprimés de tramadol et de la cocaïne.
Au cours de ces opérations, de nombreuses infractions ont été constatées selon nos sources. De l’usurpation d’identité et de fonction, à la détention illégale d’armes, de vente et consommation de stupéfiants, en passant par les vols, braquages et autres vagabondages. Comme quoi, ces opérations salutaires doivent être pérennisées pour assurer plus de quiétude aux habitants de Bamako et environs.
Reste entendu que la police, la gendarmerie et la garde nationale effectuent plein de choses dans ce sens qui ne sont pas toujours connues du grand public.
La population devrait aussi jouer sa partition. De cela est convaincu le ministre Salif Traoré qui a toujours plaidé urbi et orbi pour cette franche collaboration entre population et forces de l’ordre.
Drissa Togola
Le Challenger