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Propos mémorable: Feu Modibo Keïta, Président de la République (19 Novembre 1968)

“Le Mali, ce n’est pas nous, ce n’est pas non plus ceux qui viennent de prendre le pouvoir. Le Mali, c’est vous !” [NDLR : s’adressant à la jeunesse]

Boya Dembélé, Président du Tribunal de Première Instance de Koutiala, à l’occasion de la rentrée judiciaire 2003-2004 :

« Il est déplorable de constater que certains avocats, au mépris de la loi et de leur déontologie, s’adonnent à des négoces, entretiennent des rapports avec des partis adverses sur le dos de leurs clients ou prélèvent sur les sommes encaissées, le montant de leurs honoraires et même davantage, sans le consentement formel du client et sans autorisation du bâtonnier. En outre, à Bamako, nombre de citoyens se plaignent de ce que certains avocats se prévalent de leur qualité et de la difficulté de les attraire devant le juge pour refuser de payer les loyers des locaux abritant leurs études, si bien que, actuellement, un homme de droit, que vous soyez avocat, notaire, huissier ou magistrat, vous avez du mal à trouver un local à louer ».

Me Abdoulaye Garba Tapo (Président du RND, 1997)

« Nous avons toujours pensé que le Mali, c’est notre Mali à tous et que nous devons le construire. Pour cette raison, nous pensons qu’il fallait éviter qu’il y ait des camps ennemis qui soient là à s’affronter inutilement ».

Feu Tiéoulé Mamadou Konaté Président du BDIA novembre 1994

« Je dis qu’il faut rapatrier le dossier des régions du nord-Mali, entreprendre des démarches pour ouvrir le débat au Mali, entre Maliens concernés.

C’est ça l’approche du BDIA.

Mais avant cela, il ne faudrait rien négliger sur le plan de la sécurité, pour que les populations puissent être à l’abri d’attaques, d’assassinats.

Notre gouvernement doit redoubler l’effort pour convaincre les rebelles que la paix est possible dans l’honneur et la négociation.

Mais, il doit être clair que cela n’est compatible, ni avec la surenchère, ni avec les pressions internationales, encore moins, avec les attentats terroristes ».

Professeur Yoro Diakité (2002)

« Les objectifs essentiels immédiats du 26 mars étaient l’instauration du multipartisme intégral et de la liberté pour les gouvernés de choisir leurs gouvernants. Ceux-ci ont été atteints. Mais, l’espoir populaire attendait un mieux vivre et surtout devenir maître de sa propre histoire. De cela, nous en sommes loin ».

Alpha Oumar Konaré, Président de la République 1994

‘’ Il est de la responsabilité de l’Etat, de donner la preuve qu’il entend et qu’il est en mesure d’assurer la sécurité de toutes les personnes, à quelque groupe socio-ethnique qu’elles appartiennent, ainsi que la sécurité de leurs biens.

Il appartient aux Mouvements  de confirmer leurs engagements en faveur de la paix et de la sécurité.

Il leur appartient sans plus aucun retard, de contribuer à la lutte contre les actes de banditisme.’’ 

Rassemblés par

Boubacar Sankaré

Source: Le 26 Mars

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