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PRÉTENDUE FRAPPE DES FAMA AYANT « CIBLÉ UN REGROUPEMENT D’ENFANTS DEVANT L’ÉCOLE PRÈS DU CAMP » À KIDAL

La guerre ne se limite pas qu’au front et se joue aussi par la communication. C’est fort de ce concept que les individus du Cadre stratégique permanent pour la paix et le développement (CSP PSD) en perte de terrain face à l’offensive des FAMAs pour la restauration de l’autorités de l’État sur l’entièreté du territoire National, tentent par tous les moyens possibles, de faire réagir non pas l’opinion malienne, mais la communauté internationale qui jusqu’ alors était actrice de la partition du Mali. C’est dans son ultime tentative de manipulation et dans l’optique de vouloir souiller les forces armées maliennes à travers le principe du respect des droits de l’Homme, qu’une campagne de propagande bien ficelée a été mise en place par ceux qui espèrent que cela tombe dans les oreilles d’organisations contre l’avancée des Famas vers Kidal.

En effet, cela fait plusieurs jours déjà que les forces armées maliennes en prélude à leur arrivée dans la ville de Kidal effectuent des frappes dans l’enceinte du camp de la MINUSMA que la mission onusienne a laissé au profit des groupes armés siégeant dans la ville. Ces frappes selon nos informations qui sont effectuées dans l’enceinte du camp visent à neutraliser les différents équipements militaires notamment les blindés que la mission onusienne a laissés. L’objectif derrière cet acte est de rendre inexploitables lesdits équipements militaires qui pourraient être utilisés contre les FAMAS.Quelques jours après le début de ces frappes qui ont réussi à neutraliser des chefs terroristes, le CSP-PSD sentant qu’il est plus que jamais en danger, a ficelé une propagande atour de l’offensive de nos forces armées républicaines. En début de semaine un courrier émanant d’n collectif de personnalités du Nord et adressé au secrétaire général des Nations Unies appelait la communauté internationale à l’aide en mettant en avant une prétendue violation des droits humains par les autorités militaires, visant particulièrement des enfants. Comme par pur hasard et dans un timing plus que calculé, au lendemain de la publication de ladite lettre, des images insoutenables d’enfants blessés ont été diffusées sur les réseaux sociaux afin de faire croire a des victimes des frappes de drones effectuées par les FAMAs. Il n’en est rien !Et pour cause, il suffit de jeter un œil attentif aux images qui circulent pour comprendre que celles-ci n’ont aucune cohérence. Comment des frappes de drones (des missiles) peuvent-t-elles être effectuées sans qu’aucune trace ne soit perceptible au sol ou sur les corps des individus se trouvant sur les lieux ou aux alentours ? Qu’en est-il de la poussière qui est diffusée suite aux frappes de drones et qui devrait être visible ? En cas de frappe de drone (missile) est-il vraisemblable que des corps de victimes en sortes indemnes ? À toutes ces questions, il est évident que l’impact d’une frappe au drone laisserait très peu de chance aux personnes ou matériels visés de sortir intact comme cela est visible sur les images e propagande du mouvement rebelle.Un plan machiavéliqueSelon nos recoupements, la version avancée par le CSP-PSD est emplie d’inepties pour toute personne connaissant un minimum la ville de Kidal. En effet, dans le communiqué publié pour dénoncer les faits, le mouvement qui rassemble des groupes sécessionnistes a évoqué des frappes qui auraient « ciblé un regroupement d’enfants devant l’école près du camp abandonné par la MINUSMA à Kidal ». Une annonce invraisemblable puisqu’aucune école n’est située aux alentours du camp. Aussi, il faut savoir que le camp abandonné par la MINUSMA a été récupéré par les éléments du CSP-PSD qui y mènent la garde et empêchent les individus qui tentent de s’introduire sur les lieux pour piller le matériel abandonné. C’est dans une tentative d’éloigner ces pilleurs parmi lesquels des enfants, que les éléments du CSP PSD ont tiré à bout portant sur ces personnes. Lesdits impacts de balles sont d’ailleurs visibles sur les corps des enfants dont les photos sont outrageusement diffusées sur les réseaux.

Selon nos informations, c’est suite à cette bavure et voulant salir l’image des FAMAs que le mouvement rebelle s’est empressé, à la première frappe aérienne de la journée du mardi 07 Novembre, de mettre cela sur le compte des FAMAs.Une comparaison mal placée avec la PalestineEn agissant de la sorte ce mouvement rebelle sécessionniste tente de faire croire que les forces armées maliennes qui sont républicaines, s’adonnent à une « épuration ethnique ». Une aberration lorsqu’on voit l’ampleur du soutien de population du Nord Notamment de Kidal envers nos forces armées. Pour alarmer davantage les internautes, ces individus sont allés jusqu’à comparer la situation de Kidal à celle de la Palestine ou des femmes, des enfants et des vieillards sont tués par centaine quotidiennement. Une comparaison mal placée faite à de multiples repises par des représentants de le CMA (membre du CSP PSD) qui n’hésitent pas à brandir des menaces contre les FAMAS, sur du faux et à banaliser la cause palestinienne.De toute évidence, Les forces armées maliennes qui sont au service des populations mettent un accent particulier sur le respect des droits de l’Homme au Mali. À travers cette campagne de dénigrement, les rebelles sécessionnistes qui sont en réalité une poignée, tentent de jouer sur la crainte de certaines personnes. Une manipulation qui vise à raviver les mauvais souvenir des précédentes rebellions et à faire croire qu’encore aujourd’hui en 2023 l’amalgame persiste. Une tentative mort-née car les autorités de la transition ont démontré que le peuple malien est un et indivisible sans aucune distinction d’ethnie, ni de religion, encore moins de couleur de peau. En est pour preuve la communion de tous derrière notre armée républicaine.

Demba KONTE – NOUVEL HORIZON

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