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POLICE NATIONALE: Aboubacar Falaye Kéïta, responsable syndical et le Synapol veulent polluer

Courant 2014-2015, Aboubacar Falaye Kéïta est à la base de trois grèves sans préavis. Donc, une violation du statut de la Police nationale et l’instauration d’un paiement illégal d’une somme qui s’élève à la somme de 200 millions Fcfa avec la complicité de la DGPN actuellement protégé par le DG.

POLICE nationale marche protestation greve

Le Synapol, créé le 12 avril 2014, ce syndicat des commissaires, plus renouveau pour la bénédiction d’un groupe d’officiers en fonction pourtant à la retraite pour sauvegarder le même système de corruption.

Aboubacar Falaye Kéïta a pour beau père, l’ex-DG Odioma Koné nommé par le général Amadou Haya Sanogo, pour maintenir ce bonhomme à la Police nationale. C’est-à-dire, le début de la division avec la complicité du général Tiéfing Konaté, son ex-beau père.

Malgré la bonne entente perceptible au haut sommet de la Police nationale, des individus mal intentionnés tentent, par des insinuations et la délation, de créer une faille entre le Dg et le Dga de la police nationale.

Mais, ce n’est que peine perdue. Car, ces menteurs et marchands d’illusion ont à faire avec deux hommes murs, intellectuels et intelligents.

Contrairement aux maitres du dilatoire et de la calomnie, il y a lieu d’être concret et précis pour une bonne compréhension des problèmes imaginaires inventés par certains dans leurs débiles fantasmes.

 

Acte 1 : Un article de la presse publié pour créer la suspicion entre le DG et le DGA

Souvenons-vous ! En Avril 2016, c’était encore la lune de miel entre les deux responsables et la  bonne entente à la Direction générale de la Police nationale. Tout à coup, à la surprise des fonctionnaires de la police, apparaît un journal de la place qui tirait sur  «le DGA de la police au cœur d’un scandale». De gros titre pour un contenu vide.

En effet, cet article ne reprochait rien au DGA et n’avait pour seul but que de discréditer l’homme en créant la zizanie entre les membres de la haute hiérarchie de la police.

Les vrais policiers ont compris qu’il s’agissait de l’œuvre d’un individu en mission qui s’exprimait sur des sujets, dont il n’avait aucune connaissance, de la façon d’un «je connais tout».

Malheureusement,  cette publication a eu lieu au moment où, les fonctionnaires de la police se remettaient au travail en toute sérénité et confiance. Alors, on pourra poser la question de savoir : pourquoi une telle sortie médiatique lorsque la police reprenait son souffle ?

 

Acte 2 : Sabotage des mutations

Le groupe de policiers auteurs de la médisance dont le journal précité s’est fait porteur, se disant syndicalistes, font la pression sur certains responsables et abusent de la bonne foi de ces derniers, ils exigent le retour des fonctionnaires de police aux postes que ces derniers venaient de quitter six mois plus tôt.

Ayant eu gain de cause et sachant bien que ces mutations causaient plus de problèmes au schéma du dispositif sécuritaire de Bamako. Comme si cela ne suffit pas,  ces mêmes syndicalistes ont continué  à vilipender le Directeur Général Adjoint d’être à la base de ces mouvements.

Les délateurs avaient oublié que ces dernières mutations détruisaient justement le beau travail de gestion du personnel et surtout l’ordre qui y était mis par le DGA,  quand il assurait les fonctions de Directeur du personnel, des finances et du Matériel (DPFM).

C’est simplement aberrant de croire que cet homme de rigueur peut revenir sur un travail  bien apprécié,  qu’il venait de faire pour assainir les mutations à la Police nationale.

Ayant réussi leurs coups, ces mêmes syndicalistes, comme pour insulter la conscience des policiers se félicitent sur leurs pages Facebook du jackpot qu’ils viennent de gagner à travers ces mutations par le renforcement de leur syndicat dans les unités de police. Comment comprendre que l’on crie victoire d’avoir mis ces militants partout où l’on veut et au même moment accuser une autre personne d’avoir fait ces mouvements ? Débilité quand tu nous tiens.

 

Acte 3 : Refus d’aller à l’unification syndicale

Depuis la prise de fonction de l’actuelle équipe de la Direction Générale de la Police nationale, le ministre de la Sécurité et de la Protection civile a mis en place dans ses orientions, l’apaisement du climat Syndical.

Lors de sa première rencontre avec les syndicats,  le ministre fait preuve de bonne foi. Ces derniers avaient  souhaité être reçu à la fois. Ce qui était un signal fort de la volonté des policiers de se retrouver.

Prenant la balle au bond, la Direction Générale de la Police nationale a invité l’ensemble des syndicats de la Police à une rencontre de prise contact et de cadrage. Ce jour-là, le Directeur Général Adjoint a indiqué certains principes qui doivent être respectés dans les rapports entre la DGPN et les syndicats, notamment :

–              Le principe de la neutralité absolue de l’administration

-Le principe du respect des rôles de chaque entité (administration/syndicats)

-Le respect et la courtoisie entre administration et syndicat

-La concertation et le dialogue pour tous les problèmes qui seront posés à la police

-Le partage de l’information et la communication

Pour finir, le DGA a invité  les syndicats à parler au moins d’une seule voix à défaut de l’unité syndicale qui est l’idéale, selon lui. Il a précisé que même si on mettait 100 syndicats, chacun posera exactement les mêmes doléances que les autres. Il ne peut y avoir de doléances qui s’opposent les unes aux autres dans la mesure où, il s’agit des mêmes problèmes concernant les mêmes personnels. Il a dit aux syndicalistes que les policiers ne sont pas divisés. C’est plutôt les responsables syndicaux qui le sont et que pour lui, toutes doléances introduites par un syndicat seront discutées avec la participation des autres.

Ainsi, le problème qui sera posé au ministre par le Directeur Général aura la caution de tous les policiers. Alors, finies les contestations et les oppositions inutiles qui ne font que nuire à la Police nationale et ses fonctionnaires.

Cette intervention est le crime impardonnable commis par le DGA et qui le fait valoir aujourd’hui à l’hégémonie par certains responsables syndicaux.

En effet, ce syndicat a été créé par la volonté d’un homme pour servir son pouvoir et asseoir son autorité acerbe sur les pauvres fonctionnaires de Police. Ce syndicat a existé et existe encore grâce au marché gagnant-gagnant qu’il a conclu et continue d’entretenir avec certains membres de l’administration et dont les policiers sont victimes.

Demandez aux fonctionnaires de la CCR. Ils vous édifieront plus et mieux. Leur stratégie : courir vite dans les bureaux,  salons des DG et autres autorités pour vendre les policiers en promettant à ces responsables la paix et la sérénité pendant leur séjour à ses postes. Du chantage, alors qu’ils tirent leur force en faisant les courtisans qu’ils mettent à profit pour venir intimider leurs camarades. Derrières eux, il n’y a ni centrale, ni policiers.

Pourtant, à les entendre parler, ils ont nommé tous les responsables du ministère, DG et DGA et quand ils ne veulent plus d’une personne, ils la feront sauter, se plaisent-ils à raconter. Cette récréation-là, doit prendre fin. Il faut mettre fin au règne d’un groupe de privilégiés et de protégés.

Dans ces conditions, toute idée d’unification ou autre démarche qui fera perdre à ces gens  leurs privilèges, ne peut être acceptée par eux. Pire, ils ne ménageront aucune calomnie, aucune médisance et aucune malhonnêteté pour discréditer les hommes encore dignes de confiance, comme le DGA, qui essayeront de protéger les fonctionnaires de police et de lutter seulement et simplement pour les intérêts de ces dernières. Que les autorités s’engagent franchement, qu’elles  mettent effectivement en œuvre leur bonne foi, les policiers se retrouveront et seront un.

 

Acte 4 : encore un article de presse pour  une fuite en avant

Encore un article dans un autre journal mais du même auteur. En effet, il a été chassé du premier journal lorsque que les vrais journalistes, ceux qui font honneur à leur profession, ont découvert que ce monsieur met sa plume au service des délateurs pour régler des comptes. Je lui souhaite de tomber un jour sur quelqu’un comme lui, pour qu’il goûte la saveur de la calomnie et du mensonge. On peut être parent d’une personne et l’aider, sans bafouer  l’honneur des autres. Sauf que les gens n’ont pas la même conception de l’honneur.

Revenons à l’article : on s’acharne encore sur le DGA en l’accusant de donner ses cartes de visite à ses parents et amis. Quelle est la personnalité qui ne fait pas de cartes de visite et qu’elle échange à longueur de journée avec d’autres. Depuis quand cela a été un crime. Que les lecteurs apprécient et se fassent une idée sur la moralité de ceux qui écrivent de telles inepties.

Un mot sur l’événement qui a déclenché cette folie : une nuit, au check point de la cité administrative, un policier interpelle un citoyen dans sa voiture. Il procède au contrôle physique du véhicule et revient demander au conducteur les pièces du véhicule. Le conducteur s’exécute et tout était correct. Il a pris du temps avant de laisser continuer l’usager. Ayant compris que celui-là ne lui tendait rien, le policier lui notifie que sa vitre est teintée. En ce moment, le citoyen lui dit qu’il est un ami du DGA et lui tend la carte de visite de cette autorité. Le policier  prend la carte de visite et la jette sur l’usager en disant : «Tu trouveras ta carte grise à la CCR».

Deux jours après, le DGA, informé par le citoyen a demandé au commandant de la CCR de venir avec les trois éléments qui étaient à ce poste. Une fois les éléments et leur commandant dans son bureau, le DGA découvre qu’il y avait le nommé Aboubacar Kéïta, un responsable syndical. Le commandant de la CCR indique que ce dernier comme celui qui a pris la carte. Le DGA se tourne vers le sergent Aboubacar pour lui demander les raisons d’un tel comportement à son endroit. Il lui a dit que par courtoisie, il n’aurait pas dû jeter sa carte de visite à la figure du citoyen. Il lui dit que lui, DGA, il ne ferait pas cela à un sergent.

Cela a suffi pour que tout s’embrase. Aboubacar profère des menaces à l’endroit du DGA et insinue que celui-là n’aide pas le DG dans son travail. Le DGA lui a répondu que ce n’est pas à lui de juger des rapports entre DG et DGA, que lui, DGA, voudrait seulement être respecté parce que lui, il respecte les autres.

Cinq jours après, un article est publié disant que le DGA empêche les éléments de la CCR de travailler et qu’il les menace. Selon cet article, les cartes du DGA sont vendues. Pas une seule fois, le DGA n’a intimidé un seul élément et ne s’est jamais immiscé dans quelque affaire que ce soit. Vu l’acharnement de ces gens contre ce dignes fils de la République, si tel n’était pas le cas, ils auraient fait étalage des preuves.

De nos jours, les policiers qui se battent pour soigner l’image de la police, pour rapprocher la police de la population, ces policiers dignes de leur uniforme sont à pied d’œuvre, les fautifs et les faux types sont débusqués et démasqués.

Les «laissez-passer» et les facilitations pour circuler» font partie du marché conclu entre le clan des Jean Antoine, Aboubacar Kéïta et certains éléments de la hiérarchie. Ils savent que tôt ou tard, ce marché contre les policiers, surtout ceux de la CCR, sera mis à nu, d’où la fuite en avant qui consiste à chercher un bouc émissaire qu’il pensait avoir trouvé en la personne du DGA. Mais, mal leur en a pris, lui, il n’est au courant.

Connaissant l’homme, il n’est pas du genre à marchander son sens de responsabilité.

Depuis leur article qui a mis le feu aux poudres, d’autres policiers ont estimé qu’il faut que les plus autorités sachent la vérité pour faire, peut-être, le tri des bonnes graines de l’ivraie.

Que pensent les policiers de tout cela ?

Beaucoup de policiers interrogés se disent prêts à travailler pour soigner l’image de la police mais qu’ils sont toujours divertis par certains camarades qui font du syndicalisme leur métier. Non seulement, ils ne travaillent pas mais ils empêchent les autres de s’acquitter de leurs missions.

Certains se disent consternés par les apparitions médiatiques de leurs syndicalistes, souvent à des moments qui laissent perplexes. Ils citent comme exemple les deux articles sur le DGA.

-L’article du mois d’avril est apparu quand l’atmosphère au sein de la police était au beau fixe. Relisez cet article. Tout laisse croire que ses rédacteurs voudraient  réveiller les vieux démons de la division en replongeant les policiers dans des événements survenus avant qu’eux-mêmes ne soient recrutés à la police. Preuve encore une fois qu’il s’agit de syndicalistes manipulés sans aucun amour pour les policiers.

– l’article de novembre survient :

  • Quand toute la police et tous les fonctionnaires de la police, du DG à l’élève sous-officier, sont résolument engagés et concentrés sur la lutte contre la grande criminalité à Bamako et à l’intérieur du pays, sur l’organisation du Sommet Afrique-France, sur la mise à niveau des policiers pour faire face aux défis de la mondialisation, sur la mise en conditions des fonctionnaires de Police…
  • Quand les plus hautes autorités du pays sur instigations clairvoyantes du Ministre de la Sécurité et de la protection civile, ne ménagent aucun effort pour procurer à la police et aux policiers les moyens essentiels de travail et leur porte la considération qui sied à leur rôle dans la nation en reconnaissance de tout ce qu’ils font.
  • Quant les autorités de tutelle de la police ont tout fait pour qu’enfin aboutissent des doléances  des fonctionnaires de police engagées depuis plus de dix (exemple : les textes relatifs aux différentes rémunérations que je m’abstiens de citées).
  • Quand les populations, pour une des rares fois, se disent satisfaites de la police.
  • Quand les policiers eux-mêmes se disent fiers d’appartenir à cette corporation.
  • Etc.

Alors la question que ces policiers se posent, c’est pourquoi de telles attitudes, pourquoi ces calomnies, chaque fois que la police veut se relever ? Qui veut mettre la police à terre pour continuer à vivre de la sueur des autres ? Réponse : c’est sans conteste ceux qui se pavanent de bureau en bureau, de service à service, pour cultiver les graines de la haine et de la division au sein de leur propre profession. Ce sont toujours eux qui ont peur de l’unité et de la cohésion au sein de la police, car le menteur et le calomniateur ne souhaite pas être confronté à celui qu’il a calomnié.

Fonctionnaires de police, le temps est venu de mettre à profit le regain de confiance naissant entre vous et la population, l’estime des autorités de tutelles actuelles à votre endroit, pour vous retrouver. Chaque chose a son temps. Le vent souffle aujourd’hui dans le sens du retour de la cohésion entre vous. Ceux qui vous incitent à la division, à la haine entre vous, sont les seuls à en tirer profit, qui pour lui-même, qui pour son père.

Ecoutez bien ! Leurs arguments sont puérils et mus seulement de sentiments négatifs : la méchanceté, la peur, la jalousie, l’égoïsme, etc.

 

Tang

Source: Le Dénonciateur

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