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Point de mire : les sorties illicites de capitaux importantes

Selon les estimations récentes, l’Afrique perdrait ainsi en moyenne environ 60 milliards de dollars par an (entre 2003 et 2012) soit plus que l’aide publique au développement ou que les investissements directs étrangers (l’aide s’élevait en moyenne par an à 41 milliards de dollars sur cette période et les investissements à 35 milliards de dollars). Ces sorties illicites, souvent effectuées par des surfacturations ou sous- facturations, sont étudiées par un groupe de haut niveau et un forum mondial sur la transparence et l’échange de renseignements à des fins fiscales, réunissant cent vingt-six (126) pays, dont dix-huit (18) d’Afrique subsaharienne.

 

Au total, force est de constater que les conditions ne sont pas encore réunies pour financer l’énorme effort nécessaire pour la transformation radicale des conditions de vie des Africains, pour accompagner la très forte croissance démographique, l’urbanisation et les infrastructures.

Source : L’Inter de Bamako

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