Son mandat est plus précisément prolongé jusqu’au 14 janvier 2019, selon un communiqué du Conseil de l’Union européenne (où siègent les ministres des 28 Etats membres) diffusé mercredi 11 janvier.
Baptisée « EUCAP Sahel Mali », cette mission civile concerne uniquement la formation de la police, de la gendarmerie et de la garde nationale maliennes. Elle est menée parallèlement à une mission de formation des forces armées de ce pays.
« Le Conseil a alloué un budget de 29,7 millions d’euros à la mission pour la période allant du 15 janvier 2017 au 14 janvier 2018 », indique encore le communiqué. Une enveloppe financière destinée à aider le gouvernement malien à réformer le secteur de la sécurité, mais aussi « à maintenir son autorité sur l’ensemble du territoire ».
Pertes lourdes de la Minusma
Le Mali lutte toujours contre les groupes jihadistes qui avaient occupé le nord du pays en 2012, avant d’en être dispersés par une intervention internationale. Celle-ci est toujours en cours.
Forte de 11 000 hommes, la mission de l’ONU au Mali (Minusma) est régulièrement attaquée, tout comme les forces maliennes, au point d’avoir subi en 2016 les pertes les plus lourdes des forces onusiennes en activité.
Ces questions sécuritaires seront au cœur des discussions du sommet Afrique-France, organisé ce vendredi 13 janvier à Bamako. La France en particulier, qui conduit l’opération Barkhane (une force antiterroriste active dans cinq pays du Sahel, dont le Mali), souhaite réduire la nécessité de ses interventions militaires.
Son mandat est plus précisément prolongé jusqu’au 14 janvier 2019, selon un communiqué du Conseil de l’Union européenne (où siègent les ministres des 28 Etats membres) diffusé mercredi 11 janvier.
Baptisée « EUCAP Sahel Mali », cette mission civile concerne uniquement la formation de la police, de la gendarmerie et de la garde nationale maliennes. Elle est menée parallèlement à une mission de formation des forces armées de ce pays.
« Le Conseil a alloué un budget de 29,7 millions d’euros à la mission pour la période allant du 15 janvier 2017 au 14 janvier 2018 », indique encore le communiqué. Une enveloppe financière destinée à aider le gouvernement malien à réformer le secteur de la sécurité, mais aussi « à maintenir son autorité sur l’ensemble du territoire ».
Pertes lourdes de la Minusma
Le Mali lutte toujours contre les groupes jihadistes qui avaient occupé le nord du pays en 2012, avant d’en être dispersés par une intervention internationale. Celle-ci est toujours en cours.
Forte de 11 000 hommes, la mission de l’ONU au Mali (Minusma) est régulièrement attaquée, tout comme les forces maliennes, au point d’avoir subi en 2016 les pertes les plus lourdes des forces onusiennes en activité.
Ces questions sécuritaires seront au cœur des discussions du sommet Afrique-France, organisé ce vendredi 13 janvier à Bamako. La France en particulier, qui conduit l’opération Barkhane (une force antiterroriste active dans cinq pays du Sahel, dont le Mali), souhaite réduire la nécessité de ses interventions militaires.