La recherche de financement, c’est une des préoccupations des chefs d’Etat du G5 Sahel pour assurer un fonctionnement pérenne de l’organisation. Ce matin le président malien IBK a rappelé qu’à ce stade, le compte n’y était pas. 294 millions d’euros seulement ont été mobilisés sur les 450 qu’attendent les pays membres du G5.
Pourquoi l’organisation n’attire-t-elle pas plus de fonds ? Pourquoi les partenaires des pays sahéliens sont-ils frileux à investir dans la force du G5 ?
Notre journaliste a posé ces questions à Mathieu Pellerin, chercheur au Centre Afrique de l’IFRI, l’institut français pour les relations internationales.
RFI