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JULIE GAYET : SON SOUTIEN À LA TUNISIE POUR LA LIBERTÉ D’EXPRESSION

Julie Gayet était en Tunisie ce vendredi 1er mai, plus précisément au musée du Bardo, là où le terrible attentat a eu lieu en mars dernier. Elle était avec d’autres intellectuels et artistes pour défendre la liberté d’expression.

actrice francaise cinema  Julie Gayet

La liberté de la presse et le droit de manifestation étaient au cœur du débat en France ce vendredi 1er mai, suite aux troubles intervenues lors du rassemblement du FN. Mais le même jour, c’est la liberté d’expression qui était défendue, de l’autre côté de la Méditerranée. En Tunisie, la quatrième édition de « Al Kalimat, le marathon des mots » s’est déroulée du 1er au 3 mai. Une discussion intitulée « Libre de filmer » s’est tenue à Tunis, au musée du Bardo, là où le a eu lieu le terrible attentat, du 18 mars dernier, qui avait fait 24 morts et 45 blessés. Le débat a été animé par Olivier Poivre d’Arvor, directeur de France Culture et l’actrice Julie Gayet. Des écrivains, des intellectuels, des artistes sont également venus pour manifester leur soutien à l’initiative et participer au débat.

Julie Gayet, un renfort de poids

L’événement devait mettre à l’honneur la danse, la littérature, le cinéma et la liberté. Qui d’autre que Julie Gayet pour parler à la fois du 7ème art et de la liberté ? La supposée compagne de François Hollande est également revenue sur l’attentat et les dégâts qu’il a causé. « Il me semble impossible de laisser cela en l’état. Mais l’on pourrait envisager de garder quelques traces d’impacts, dans une vitrine du musée peut-être ? » Car quarante jours après le drames, des traces d’impacts de balles sont encore présentes. La programmatrice de « Al Kalimat, le Marathon des mots », Syhem Belkhodja, a également été saluée par l’actrice française qui a déclaré : « J’ai été bluffée par l’énergie de Syhem. Danseuse, chorégraphe, directrice d’une école de danse pour jeunes défavorisés, elle organisait aussi trois festivals. Je lui ai suggéré de les combiner en un. » Des thèmes comme la liberté de blasphémer, de se moquer, de penser, le rapport aux corps et à l’expression de la féminité ont été les sujets qui ont animé la discussion. Un débat qui s’est tenu dans une ambiance décontractée, face à un public constitué d’hommes, de femmes, d’enfants et d’étudiants.
Source: non-stop-people.com

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