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Joko ni Maaya est bel et bien actif !

Le coordinateur national de l’association Joko ni Maaya à l’occasion de la fête du Maouloud a intensifié ses activités de conscientisation et de communication pour la restauration de nos valeurs sociétales. L’ancien Ministre de la République, avec d’autres personnes ressources, a engagé la mobilisation sociale pour un changement de mentalité.

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   La crise que nous avons connue, selon beaucoup d’analystes, provient de la déviation comportementale des responsables et des citoyens.  Pour redresser le pays, il faut commencer par redresser les hommes en revenant aux valeurs de dignité, de probité, d’honneur et de patriotisme.

Cela est unanime à tous les niveaux, nous avons salué le Pr Abdoulaye Niang pour la collaboration durant toutes ces années et nous avons pris des nouveaux locaux. Nous avons des objectifs que nous nous sommes assignés et si nous devrions les atteindre, il faut nous nous surpassions. Nous sommes à Niamakoro à l’immeuble Sofara.

Depuis 2012, nous avons rencontré des politiques, des religieux et d’autres regroupements de la société pour leur expliquer les principes. Pour Seydou Idrissa Traoré Il faut peser sur la conscience de ceux qui n’ont aucun respect pour le patrimonial national. Comment peut-on détourner le bien public et arriver à regarder les autres dans les yeux ». Il est évident l’union fait la force, mais à condition que les parties aient la même orientation : rappelant un passage de la parole divine dans le coran : « nous avons assigné à chaque communauté un culte »

Pour Seydou Idrissa Traoré, cette nouvelle éducation, caractérisée par le mensonge, la trahison, le vol, est à imputé aux parents qui, globalement n’ont pas guidé leurs enfants. Il y a un code d’éthique

Tout le combat de l’association, en grande partie, est assuré sur les frais des pensions et quelques cotisations perçues de temps à autre. Des retraités pour la plupart, ces membres de Joko ni Maaya ne cautionnent plus que n’importe qui devienne responsable dans un Mali en déperdition : « Si j’ai été ministre et qu’on n’a jamais dit que j’ai détourné le denier public, cela est dû à ma mère qui à veiller à ma bonne conduite. »                                                                       

                                                                                                                        ABC

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