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Iyad Ag Ghaly, échec… et bientôt mat !

Iyad Ag Ghaly est le principal ennemi de la paix. Cette paix, il souhaite définitivement l’enterrer car elle ne peut rien lui rapporter. Il s’est déjà vendu aux plus offrants. Il doit être arrêté et jugé pour ses crimes. Aujourd’hui, son arrestation est la seule solution pour sortir de la crise et mettre une fois pour toute en œuvre les accords de paix !

chef groupe Ansar Eddine Iyad Ag Ghali

Iyad Ag Ghaly n’a plus rien à offrir au Mali, ni aux populations de l’Azawad. Il a déjà perdu. Son échec est total. Il ne représente plus rien politiquement. Sur le plan de la moralité, c’est pire encore ! Il n’a fait que trahir toutes les causes qu’il a prétendu défendre. Désormais, il se terre lâchement à la frontière du Nord, terrorise la population et recrute des enfants pour les envoyer au suicide. Bel exemple pour un émir…Il n’est plus qu’un obstacle nuisible pour les acteurs du Nord engagés dans un processus politique.

Iyad Ag Ghaly, par son extrémisme, s’est exclu volontairement des négociations. Il fait donc tout pour qu’elles échouent en maintenant l’insécurité et une violence permanente. Depuis le mois de mai, les attaques lâches et sanglantes se multiplient contre l’armée et les forces internationales! Il doit à tout prix perturber la mise en œuvre de l’accord. A Kidal, où il a des affidés au sein du HCUA, il pousse aux démonstrations de force en provoquant les dérapages. Heureusement la majorité des signataires ne sont pas dupes et désamorcent ses pièges par le dialogue et la concertation. Ils ont tout à perdre si les accords échouent.

Dans la boucle du Niger, Iyad Ag Ghaly recrute des jeunes, qu’il ne trouve plus au Nord. Ce nouveau foyer de crise est alarmant. Son nouvel allié, Amadou Koufa, est chargé de monter les communautés les unes contre les autres. Ceux qui prêchent la raison et le dialogue constructif sont assassinés. Des imams qui refusent de le suivre sont retrouvés morts, comme à Nampala.

Les Azawadiens  rejettent l’émir d’Ansar Dine et ses complices d’AQMI. Partout, il diffuse des menaces de mort à l’encontre de ceux qui seraient vus avec les forces internationales. De nombreux villages sont déserts car les populations préfèrent fuir plutôt que de se soumettre ou d’être prise en otage. La révolte gronde, les habitants se concertent et demandent courageusement le départ d’Ansar Dine. Acculé dans le nord, l’étau se resserre sur le terroriste qui n’a plus aucun soutien. Pour l’émir terroriste,  la fin du règne est toute proche.

 

Ibrahim Keïta

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