Suivez-nous sur Facebook pour ne rien rater de l'actualité malienne

ACHARNEMENT CONTRE LE FAFPA ET SON DG: Les dessous des agissements d’un groupuscule d’égarés

Un syndicat est une association de personnes dont l’objectif est la défense d’intérêts professionnels communs de ses membres. Dans le cas du FAFPA, il est outrant de constater qu’un certain Moussa Sangaré, ex secrétaire général de la section syndicale avait décidé de pervertir le sens d’une lutte syndicale pour assouvir ses désirs de règlement de compte.

Fonds-Appui-Formation-Professionnelle-Apprentissage-FAFPA-mali-aide

De mémoire des pensionnaires du FAFPA, jamais la structure n’a connu autant d’acharnement de la part de ses propres agents. Commandité ou pas, pour couper court à toutes les velléités qui menacent l’existence du service, le personnel, à l’unisson, a décidé de prendre leur responsabilité en mettant légalement les égarés hors d’état de nuire. Genèse d’un non évènement au FAFPA !

accord d’établissement ; une augmentation sensible des salaires, des primes et des indemnités. L’idée même de la création du syndicat fait suite à sa volonté d’associer le personnel dans la gestion de la structure à travers leur présence au conseil d’Administration. Malgré cette débauche d’énergie du premier responsable du FAFPA, la bande qui estimait que certains postes devaient leur revenir de droit a décidé de ternir son image et celle du service tout entier.  Ainsi pour des raisons de jalousie, le FAFPA et son directeur furent jetés sur la place publique. Puisque la vérité finit toujours par triompher, il est de notre devoir d’édifier l’opinion sur les dessous du comportement de ce groupuscule sans foi ni loi.
LES TENTATIVES VAINES D’ARRAISONNEMENT 
Constatant les dérives de leur camarade, le personnel a d’abord tenté de les amener sur terre. Cela s’est traduit par plusieurs tentatives de dialogue. A chaque fois la bande à Sangaré munie de son agenda esquivait les rendez-vous. Pour eux, ils n’ont ni de compte à rendre au personnel encore moins à la direction. Même pour le plus inexpérimenté des syndicalistes, cette procédure parait surréaliste et suicidaire. Sans mandat de la base, ils ont voulu obtenir des choses qui ne relèvent pas de leur compétence à travers le Ministre et la presse, tout en contournant le Directeur et le conseil d’Administration, lieu indiqué pour débattre de ses questions. Se substituant à la hiérarchie ils ont cru pouvoir jouer le rôle de faiseur de roi à l’intérieur et à la tête du Fafpa avec la bénédiction des soutiens tapis dans l’ombre. L’échec de toutes les tentatives de conciliation s’étant révélé vaine, le personnel a décidé de siffler la fin de la récréation.
LA BANDE MISE HORS D’ETAT DE NUIRE
En voulant faire leur bonheur sur le dos de la structure et de leurs collègues de service, le groupuscule qui a fait étalage de son comportement égocentrique s’est attiré les foudres de ceux au nom de qui, il prétend agir. Comme le veulent les textes, plus de 90% des agents du service ont demandé la réclusion pure et simple de la bande. Cela s’est traduit par une assemblée générale tenue le 28 Novembre 2016. A l’issue de cette rencontre, les hors la loi ont été débarqué devant huissier. A la place de Moussa Sangaré, l’assemblée a porté son choix sur Madani Camara comme nouveau secrétaire général du comité syndical du Fafpa. L’arrivée tardive du syntade n’y changera rien. C’était le médecin après la mort. Constatant que le nouveau bureau bénéficie de la légalité et de la légitimité, le syntade s’est aligné derrière la volonté du personnel. En plus du syntade, l’UNTM reconnait désormais le bureau dirigé par M. Camara. Dès lors, le climat s’est largement amélioré au sein de la structure. La dernière conférence de presse du nouveau bureau à l’UNTM atteste de l’échec de la bande à Sangaré. L’UNTM dont le secrétaire général est aussi le 1erresponsable du SYNTADE a décidé de tout faire pour appuyer toutes les initiatives de Madani Camara et son équipe.
LES PERSPECTIVES POUR LE NOUVEAU BUREAU
Dans les règles de l’art, après consultation de l’ensemble du personnel, le nouveau bureau a décidé d’élaborer un cahier de doléance qui reflétera les aspirations profondes de l’ensemble. En ce qui concerne, les plus urgents, un membre du syndicat nous a confié que de commun accord avec le directeur, des solutions avaient été trouvées. Il s’agit notamment d’une demande d’avance sur salaire, du démarrage des travaux du siège du rappel sur l’impôt sur le traitement des salaires (ITS) et de l’appui à la célébration du 8 Mars au sein du service. Selon notre interlocuteur, tous ses points ont eu des réponses favorables du côté de la direction sans tambour ni trompette. Pour le nouveau bureau, le syndicalisme n’est synonyme de chantage ou d’acquisition de privilège individuel sur le dos des autres camarades, mais un don de soi pour le bien être commun. C’est à cette tache que Madani et ses camarades entendent se consacrer désormais.
A suivre !
Lamine Diallo     

Leave a Reply

Your email address will not be published. Required fields are marked *

Suivez-nous sur Facebook pour ne rien rater de l'actualité malienne
Ecoutez les radios du Mali sur vos mobiles et tablettes
ORTM en direct Finance